Apprendre à masser et apaiser son chien par le toucher. Les stagiaires viendront avec leur chien et découvriront l’art de masser leur compagnon pour amplifier la relation. Les membres Plus, Pro et Plus Mix bénéficient d’un tarif réduit.

Apprendre à masser et apaiser son chien par le toucher. Les stagiaires viendront avec leur chien et découvriront l’art de masser leur compagnon pour amplifier la relation. Les membres Plus, Pro et Plus Mix bénéficient d’un tarif réduit.
Trop d’humains ont tendance à isoler leur chien souvent par appréhension ou méconnaissance des réactions de leur propre chien. Les conséquences sont dans la majeure partie des cas, problématiques : le chien ne supporte plus ses congénères : Il grogne ou aboie dès qu’il croise d’autres chiens, il est terrorisé et essaie de fuir. Autant de situations qui posent de sérieux problèmes. Rien n’est jamais perdu !
Combien de personnes souhaitent annuellement réorienter leur vie professionnelle ? trouvez un nouveau souffle ? s’investir dans des causes qui leur parlent vraiment ?
L’Union Européenne (EU) va enfin mettre en place des mesures visant à protéger les grands carnivores dans les pays de l’Union Européenne.
Ces mesures vont permettre aux agriculteurs de recevoir une indemnisation intégrale pour tout dommage causé par des attaques d’animaux protégés tels que les lynx, les loups et les ours. Les autres dépenses, telles que l’installation de clôtures électriques ou l’acquisition de chiens de protection pour prévenir les dommages, seront également intégralement remboursées.
L’UE estime que cette initiative contribuera à protéger les grands prédateurs dans les zones où ils sont entrés en conflit avec les humains.
Les militants de la protection animale espèrent que cela limitera le besoin de réforme.
Après plusieurs décennies de déclin, le nombre de grands carnivores comme le loup et l’ours est stable ou en augmentation dans de nombreuses régions d’Europe, souvent grâce aux efforts de conservation concentrés.
Il y a maintenant environ 17 000 ours bruns en Europe, répartis dans 22 pays. Bien qu’ils restent menacés, ils ont bien réussi à s’installer dans le nord de l’Espagne, où leur nombre a presque doublé en dix ans.
Mais le succès de la conservation augmente également les risques de conflit homme-faune.
Le nombre de loups a augmenté en Allemagne à un point tel que les animaux errent maintenant aux Pays-Bas où ils ont été associés à une augmentation des attaques sur les moutons.
Bien que ces carnivores sauvages soient protégés par la loi dans la plupart des pays, cela n’a pas empêché les agriculteurs de prendre les armes lorsque leurs animaux domestiques ont été attaqués.
Ce conflit est devenu un problème important dans certains pays. En France, environ 10.000 moutons ont été tués dans des attaques de loups, selon les éleveurs, en 2016. Le gouvernement a versé une indemnité de quelque 3,2 millions d’euros.
À présent, l’UE espère qu’en assouplissant les règles de remboursement des dommages causés par les carnivores, elle réduira la nécessité pour les éleveurs – agriculteurs de tuer ces espèces menacées.
En vertu du nouvel arrangement, les États membres seront en mesure d’indemniser intégralement les agriculteurs pour les dommages causés par les loups et les ours. Les agriculteurs auront également droit à une indemnité pour la construction de clôtures électriques et l’achat de chiens de protection (type Montagne des Pyrénées,…).
Les dépenses indirectes, y compris les factures vétérinaires pour le traitement des moutons et des bovins blessés, ainsi que les coûts liés à la recherche des animaux disparus, seront également entièrement prises en charge.
Les militants des droits des animaux ont bien accueilli cette initiative.
« Cela enlève une excuse pour tuer les animaux du fait que l’on peut prendre des mesures préventives afin de réduire, voire éliminer complètement la menace », a déclaré le Dr Jo Swabe de Humane Society International. « Nous espérons que cela fera une différence sur le terrain. »
Les gouvernements allemand et français ont exercé beaucoup de pression pour permettre l’abattage des loups comme moyen de protection du bétail domestique. Et certains ont dit craindre que les humains ne soient également attaqués.
« Vous avez essentiellement des politiciens alarmistes qui disent que nous devons avoir cette option, car il peut parfois s’agir d’un enfant attaqué », a déclaré le Dr Swabe.
« Mais si vous regardez le comportement du loup, il est très peu probable qu’un enfant soit jamais attaqué. Ils ont plus à craindre de nous que nous en avons. »
Bien que l’UE ait sanctionné l’augmentation des paiements versés aux agriculteurs dans l’espoir que cela puisse réduire le besoin de réforme, les gouvernements n’ont pas toujours fourni l’argent nécessaire.
Affaire à suivre…
Corine Gomez
Comportementaliste
L’objectif de cette conférence, est de présenter, de débattre et de partager avec l’auditoire, le panel des émotions animales, comme décrite par Charles Darwin, il y a 150 ans en arrière : la joie, la colère, la tristesse, la peur, la surprise et le dégoût.
Revue d’articles – Dr. Mark Bekoff
« Malgré de nombreux efforts pour réduire l’écart entre les sexes dans les postes de direction, les femmes restent universellement sous-représentées à ces postes dans pratiquement toutes les disciplines, y compris les sciences, la politique et les grosses entreprises. Nous étions donc intéressés par une approche non traditionnelle du phénomène en cherchant des indices dans les sociétés d’animaux non humains « .
« Nous avons beaucoup à apprendre des manières fascinantes par lesquelles la sélection naturelle a favorisé les traits de comportement des animaux non humains. En étudiant les mammifères non humains où la femelle règne, nous pourrons mieux comprendre les secrets de la destruction du plafond de verre. »
La biologiste Jennifer Smith et ses collègues, biologistes au Mills College, ont récemment publié un article de recherche intitulé « Obstacles et opportunités pour le leadership féminin dans les sociétés de mammifères : perspective comparative« . Un court résumé de cette étude avait été publié dans un article de New Scientist intitulé « Les 7 mammifères non humains où les femelles font la loi« . Dr Smith a accepté d’être interrogé au sujet de cette étude détaillée basée sur des données, qui « élucide les obstacles au leadership féminin, mais révèle également que les opérationnalisations traditionnelles du leadership sont elles-mêmes biaisées par les hommes ».
Pourquoi vous et vos collègues avez-vous mené les recherches sur le leadership féminin dans les sociétés de mammifères non humaines ? Quelle est l’importance de la perspective comparative pour ceux qui ne savent pas ce que cela implique ?
« … en étudiant les schémas comportementaux des animaux vivants aujourd’hui, nous espérions comprendre l’émergence de dirigeantes dans un cadre évolutif comparatif afin de donner un aperçu de la valeur ainsi que des obstacles historiques potentiels au leadership féminin au cours de millions d’années de lignée de mammifères. «
Malgré de nombreux efforts pour réduire l’écart entre les sexes dans les postes de direction, les femmes restent universellement sous-représentées aux postes de direction dans presque toutes les disciplines, y compris les sciences, la politique et les affaires. Nous étions donc intéressés par une approche non traditionnelle de la compréhension de ce phénomène en recherchant des indices dans les sociétés d’animaux non humains. La sélection naturelle étant censée favoriser les solutions permettant aux individus de réussir dans leurs conditions écologiques, nous nous attendions à découvrir les règles qui régissent les sociétés qui promeuvent et se développent grâce aux fortes dirigeantes. Ainsi, en étudiant les schémas comportementaux des animaux vivants aujourd’hui, nous espérions comprendre l’émergence de dirigeantes dans un cadre comparatif d’évolution pour donner un aperçu de la valeur ainsi que des barrières historiques potentielles au leadership féminin pendant des millions d’années à travers la lignée des mammifères.
Comment avez-vous collecté et analysé les données ?
Nous avons examiné les données de 76 espèces sociales de mammifères bien étudiés pour lesquelles les modèles de leadership sont compris dans quatre contextes dans lesquels le leadership est exercé: mouvement, acquisition de nourriture, médiation au sein d’un groupe et interactions entre groupes. Dans une étude précédente intitulée « Le leadership dans les sociétés de mammifères: émergence, distribution, pouvoir et gains« , nous avons identifié ces quatre domaines comme étant importants pour les sociétés de mammifères humains et non humains, définissant les dirigeants comme des individus qui exercent une influence disproportionnée sur les sociétés et les comportements collectifs des membres du groupe. Dans la présente étude, nous avons identifié les espèces pour lesquelles les femelles mènent aux conflits plus souvent que les mâles, dans au moins deux de ces contextes majeurs. Nous avons utilisé cette définition stricte des espèces avec un fort leadership féminin pour en savoir plus sur les cas pour lesquels le leadership féminin est la norme.
Quelles sont vos principales découvertes sur les non-humains dans lesquels le leadership féminin se produit ?
Sur la base de notre définition stricte de « dirigeantes fortes», nous avons constaté que le leadership à prédominance féminine est généralement rare chez les mammifères sociaux, mais qu’il est omniprésent dans la vie des épaulards, des lions, des hyènes tachetées, des bonobos, des lémurs et des éléphants. Les leaders émergent sans contrainte et les suiveurs bénéficient du soutien social et / ou des connaissances écologiques des femelles plus âgées.
Groupe sociaux de mammifères non humain dans lesquelles, les femelles sont des dirigeantes fortes. Source: Jennifer Smith; ces photos sont du domaine public sous la licence Creative Commons (voir note 1)
Dans votre essai, vous notez sept observations qui pourraient être pertinentes pour les humains. Pouvez-vous expliquer brièvement chacun ?
Vous notez également que les « obstacles évolutifs » possibles au leadership féminin chez l’humain e ne sont pas insurmontables. Que sont ces obstacles et comment peuvent être surmontés ? « Notre analyse comparative montre que plusieurs obstacles au leadership des femmes sont profondément ancrés dans l’histoire évolutive des mammifères, mais qu’il existe de nombreuses possibilités de leadership féminin, y compris celles qui existent déjà, et qui sont souvent ignorés dans les définitions opérationnelles du leadership. «
Dans cet article, nous déclarons qu’« en tant qu’espèce culturelle, nous sommes capables de choisir notre propre avenir, de nous débarrasser – si nous voulons – de plafonds et de pyramides de verre et de créer les types de structures sociales permettant aux organisations de tirer profit de « l’avantage du leadership féminin ». La notion que les traditions culturelles de l’homme peuvent façonner les opportunités pour le leadership féminin est très excitante et offre un sentiment d’optimisme.
Que voyez-vous comme projets de recherche futurs importants sur ce sujet très important ?
Les étapes importantes de cette recherche consistent à communiquer nos résultats à un large public afin que d’autres puissent en apprendre davantage sur la « nature » du leadership. Nous travaillons actuellement à élargir le champ de cette recherche – pour inclure plus d’informations sur différentes espèces – et pour l’insérer dans un cadre quantitatif afin de démêler les effets de l’histoire de l’évolution et des facteurs écologiques actuels sur l’apparition de fortes dirigeantes au sein de sociétés de mammifères.
Y a-t-il autre chose à dire aux lecteurs ?
Nous avons beaucoup à apprendre des manières fascinantes dont la sélection naturelle a favorisé les traits comportementaux des animaux non-humains. En étudiant les mammifères non-humains, où la femelle règne, nous pouvons mieux comprendre les secrets de la destruction du plafond de verre. En tant qu’humains, nous possédons la capacité de choisir nos façons de vivre, de diriger et d’aider les autres. Nous pouvons mettre en œuvre des apprentissages que nous considérons comme utiles, et rejeter ceux qui ne le sont pas. Notre étude suggère que nous pourrions tirer parti de la création de réseaux de soutien, de l’acquisition des compétences des femmes expérimentées de nos communautés, et de la gestion efficace des conflits. Reconnaître qu’il s’agit du premier pas vers la promotion d’une société plus équitable dans laquelle les femmes sont accueillies et soutenues en tant que dirigeantes. Notre étude suggère que non seulement c’est une chose morale à faire, mais que soutenir l’émergence de femmes en tant que dirigeantes profitera à la société dans son ensemble.
Pour conclure :
Cette étude sera un classique dans le domaine et nous espérons que son lectorat sera large, non seulement parmi les universitaires, mais aussi parmi les personnes extérieures au domaine de la biologie, en particulier celles occupant des postes qui pourraient être utilisés pour équilibrer la parité hommes-femmes parmi les dirigeants. Les sept raisons qui ont été évoquées, expliquent pourquoi cette étude sur les non-humains est pertinente pour les humains. Elles peuvent certainement servir de rampe de lancement dont bénéficieront les femmes dans de nombreux domaines différents.
Note 1: Les sociétés mammifères non humaines pour lesquelles les femelles émergent en tant que leaders puissants lors de comportements collectifs dans de multiples contextes incluent: A) les épaulards (Orcinus orca), B) les lions d’Afrique (Panthera leo; photo de Greg Willis via Wikimedia / CC BY-SA 2.5) , C) hyènes tachetées (Crocuta crocuta; photo de David S. Green), D) bonobos (pan panusus; photo de Pierre Fidenci via Wikimedia / CC BY-SA 2.5), E) lémuriens à volants en noir et blanc (Varecia variegata Photo de Charles J. Sharp via Wikimedia / CC BY-SA 3.0), F) Lémur catta (Lemur catta; Photo de David Deniss via Wikimedia / CC BY-SA 3.0), G) Éléphants de brousse (Loxodonta africana; Photo par Amoghavarsha via Wikimedia / CC BY-SA 3.0), H) Éléphants d’Asie (Elephas maximus; Photo par Steve Evans via Wikimedia / CC BY-SA 2.0). Toutes les photos sont du domaine public sous la licence Creative Commons, à l’exception de celles utilisées avec l’autorisation de David S. Green
Mark Bekoff – Lessons from Animals About Barriers to Female Leadership – Posted Oct 09, 2018
References
Smith, Jennifer E., Chelsea A. Ortiz, Madison T. Buhbe, and Mark van Vugt. 2018. Obstacles and opportunities for female leadership in mammalian societies: A comparative perspective. The Leadership Quarterly.
La dysplasie du chien touche principalement les chiots de races moyennes, de grandes races, et de races géantes, tels que le labrador, le golden retriever, le berger allemand, le rottweiler, le dogue allemand, le bouvier bernois, le St Bernard, le Bobtail, …
L’affection est liée à des anomalies sur de nombreux gènes, ce qui la rend difficile à éradiquer par la sélection génétique pratiquée par les éleveurs.
Article de Musky, parue le 3 Janvier 2017 « Cruelty Free Lifestyle. org » – traduction C. Gomez Qu’est-ce que la sentience animale? Si vous venez de commencer à faire des recherches sur le droit des animaux, vous avez probablement rencontré ce terme : «sentience animale». Bien qu’il soit utilisé assez souvent, le concept et son importance ne sont pas…
Pour survivre, les jeunes individus, y compris les chiots, les louveteaux et les bébés humains, doivent apprendre où aller, ce qui est source de sécurité pour eux et ce qu’ils sont censés faire. Si ces jeunes devaient apprendre seulement en essayant, en interagissant avec le monde et en faisant des erreurs, beaucoup se blesseraient sérieusement et beaucoup d’autres ne vivraient pas pour raconter leur expérience. Pour cette raison, les animaux qui vivent dans des groupes sociaux bénéficient de quelque chose appelé « l’apprentissage social ».
Une étude récente met en évidence, au travers de diverses expériences que l’extra-socialisation pour des chiots et jeunes chiens est « la cerise sur le gâteau » pour une adaptation, intégration à leur futur environnement.