« Pourquoi mon chien : tire en laisse, saute, aboie… » Des réponses et solutions à portée de main

Samedi 1er Avril, de 10h00 à 12h00, nous vous accueillons pour ce second atelier, à Villeneuve Loubet, dans les locaux du A2S, 2 rue de la Chapelle. Après le succès du premier atelier, formatrice et participants ont pu discuter et échanger sur les comportements des chiens, nous vous proposons cette fois-ci, un atelier thématique: "Pourquoi mon chien : tire en laisse, saute, aboie..."

Empathie Animale : ce qu’il faut savoir

Ce que nous devrions apprendre de l’empathie animale. L’empathie, c’est cette capacité à se mettre à la place de l’autre et ressentir sa souffrance, son inconfort. Une aptitude à comprendre les sentiments et les émotions d’un autre individu pouvant amener à modifier notre propre comportement, pour réduire cette souffrance, parfois à notre détriment, et sans que cela soit pour autant de l’altruisme ou de la compassion.

Plaidoyer pour une conscience animale – Revue d’article

Article original de Dr Guillaume Sarcey et Dr Claude Beata, parue en avril 2016 dans "Comportement Animal – La revue pratique professionnelle" L’existence d’une conscience animale est le nouveau terrain de discussion des philosophes, des éthologues, des biologistes et du législateur. Le vétérinaire comportementaliste, ou psychiatre vétérinaire, est très rarement invité à donner son avis. Il … Lire la suite de Plaidoyer pour une conscience animale – Revue d’article

Elevage intensif: des usines à fric et …à peur

Une étude, menée en Amérique du Nord par des vétérinaires et une association de protection animale, a mis en exergue le profil comportemental de chiens ayant vécu en élevage intensif pour y produire des chiots, avant d’être adoptés en famille. Cette étude démontre que ces chiens manifeste de la peur, même plusieurs années après le début de leur « 2e vie » en famille d’adoption.

Anthropomorphisme: un outil éthique ?

L’anthropomorphisme a souvent été un levier, utilisé par des détracteurs, pour mettre à mal l’éthologie cognitive. Cette dernière met en avant les émotions des animaux, en utilisant des termes et des caractéristiques propres aux humains. De nombreux scientifiques voient d’un mauvais œil, l’emploi de mots tels que joie, tristesse, chagrin, humour, jalousie pour décrire les comportements des animaux non-humains. Et c’est précisément cela, l’anthropomorphisme.